Grand vent sur Vignettaz

Avis de grand vent sur Vignettaz. Avis de tempête. Avis de décès. Est-ce qu’on meurt à la Vignettaz ? À peine : on décède, à la Vignettaz, on nous a quitté, à la limite on trépasse mais on ne meurt pas, à la Vignettaz, on meurt dans des quartiers plus vivants, on meurt sur Pérolles, on meurtLire la suite « Grand vent sur Vignettaz »

Nouer un nous

Nous. Nouer un nous à la Vignettaz, est-ce que c’est possible ? Nous, Caroline et Sébastien ? Nous, Melinda et Franco ? Nous qui ? Des maisons qui s’appelle Notre Chez nous. Des panneaux Attention au chien. Des haies. Nouer un nous, d’accord, mais un nous comment ? Un nous de lutte ? Un nous de Révolution ? Encore un panneau : JusteLire la suite « Nouer un nous »

Adolescents de la Vignettaz

École primaire de la Vignettaz. En travaux. Des barricades. Des recoins. La nuit tombe. Une meute d’ados joue les durs. Ils boivent du coca, ils mâchent des chiclettes, ils bombent le torse. Parfois ils courent. Tous. Dans tous les sens. D’autres fois, c’est un seul qui court et une seule qui court avec. Il luiLire la suite « Adolescents de la Vignettaz »

En leur for intérieur

Afin de donner vie aux personnages qui apparaissent et qui apparaitront au fur et à mesure de ces déambulations fribourgeoises, voici leur portrait en creux selon la méthode de Bernard-Marie Koltès, objet d’une proposition d’écriture de François Bon dans son atelier « vies, visages, situations, personnages ». Caroline Lisse et blanche, l’œil fendu de vert, des rougeursLire la suite « En leur for intérieur »